Ne dépouillez pas la femme de son mystère...

Juste un petit message pour vous dire que le blog fait une pause le temps des vacances !

Je vous dis a tres bientot ! Et bonnes vacances a ceux qui le sont aussi !

Bises, sarah

les perles du maillon faible, on rigole, mais avec le stress, on en dit des conneries :

Comment s'appellent les bosses sur les routes ?
Un chameau.  (dos d'ane)

David Douillet est ceinture noire de... ?
Rugby (Judo)

Comment appelle-t-on les habitants de la capitale de la France ?
Les Français (les Parisiens)

Quel jour tombera le lundi de Pâques 2018 ?
Un dimanche (un lundi)

Comment appelle-t-on les habitants de l'Australie ?
Les australopithèques (Les Australiens)

Quelle princesse de la chanson française a chanté "Faut qu'j'travaille" ?
Stéphanie de Monaco (Princess Erika)

Qui fût maire de Paris de 1977 à 1995 ?
Louis XVI (Jacques Chirac)

De quel pays est originaire le chewing-gum ?
Hollywood (Etats-Unis)

Dans quel pays vous trouvez-vous si vous visitez la Pyramide du Louvre ?
En Egypte (En France)

Quelle est la femelle du lièvre ?
La levrette (la hase)

De quel adjectif le mot zoo est-il une abréviation ?
Zoophilie (Zoologique)

Quelle langue parle-t-on au Mexique ?
Le mexicain (l'espagnol)

Comment appelle-t-on l'inauguration privée d’une exposition de peinture ?
Un tapissage (Un vernissage)

Qui était surnommé le "roi Soleil" ?
François Mitterrand (Louis XIV)

Quelle est la capitale de l'Italie ?
Madrid (Rome)

Quel mot composé commençant par "H" désigne une crèche accueillant les enfants pour une durée limitée ?
Un hospice (Une halte garderie)

La gitane porte-bonheur

Sa couleur de lave

La peau ruisselante

De son long corps

La gitane pleine de larmes

Danse, encore, encore.

L’orange de ses yeux

Sa jupe de flanelle blanche

La fumée dans les cieux

La fleur délivrance

La gitane pleine de larmes

Danse comme une ombre bleue.

Roulée dans un tissu de tulle

Emportée par l’amour

La gitane porte-bonheur

S’enivre du parfum lourd

De la fleur délivrance.

Et au petit matin

Seul le désert répond à sa danse.

Assise sur un banc dans la zone d'attente de la gare de Rabat Agdal, je me repais en regardant les gens passer. La gare grouille de monde en ce jeudi après-midi…

Il y a des hommes d'affaires pressés, des africaines portant leurs bébés sur soi, attachés seulement par un quelconque foulard (j'en suis admirative), les fashionistas évoluant dans cette faune telles des Paris Hilton en puissance, la blondeur en moins, des enfants qui courent, jouent, crient, les parents exténués à force de pourchasser leurs chères petites têtes pour qu'ils se tiennent tranquilles, il y a ceux venus accompagner l'ami, l'amant ou ceux qui attendent l'arrivée de l'être aimé... Et il y a aussi ceux qui attendent avec impatience, l’expression de lassitude et d'inconfort sur leurs visages, comme ma voisine de droite qui baille à s'en démettre la mâchoire, tellement son attente paraît ennuyeuse.

Au micro, toujours la même annonce , la dame du micro répète en boucle17 x en 1 heure la même phrase : le train en destination de….titiittiii

Ma voisine de gauche a déniché de la lecture au kiosque d'en face. Un recueil imagé de nos chers pipoles(voir le post d’anglais)... A force de pencher ma tête dans son sens, un peu comme quand on faisait à l'école pour essayer de copier sur le voisin, elle m'a même proposé de lire (pardon, regarder les photos) avec elle. Qui a dit que les Rbatis n'étaient pas serviables?

Dans mon téléphone portable, presque plus de batteries pour envoyer des sms à ma cousine et lui faire part de mes impressions sur la faune environnante...

Fini les cours d'anglais rébarbatifs et les souffrances liées
aux efforts de prononciation contre nature. La découverte qui éclate ici au grand jour est tout bonnement révolutionnaire: l'anglais, bien loin d'être la langue universelle qu'on nous présentais jusqu'alors, l'anglais, la langue de Shakespeare, n'est rien d'autre que du français mal prononcé !

- Ail ou radis ? Are you ready ? Êtes-vous prêt ?

- Saintes salopes - Thanks a lot - Merci beaucoup

- Débile - The bill - L'addition-

- Mords mon nez - More money - Plus d'argent

- On le donne à ces connes - Hold on a second - Ne quittez pas un instant

- Toute ta queue traîne - To take a train - Prendre le train

- Qu'on gratte tous les jeunes ! - Congratulations ! - Félicitations !

- Marie qui se masse - Merry Christmas - Joyeux Noël

- Oui Arlette - We are late - Nous sommes en retard

- Mais dîne Franz - Made in France - Fabriqué en France

- Il se pique Germaine- He speaks German - Il parle allemand

- Youssef vole ma femme au lit - You saved all my family - Tu as sauvé toute ma famille

- Sale teint de pépère - Salt and pepper - Le sel et le poivre

- Six tonnes de chair - Sit on the chair - Asseyez-vous sur la chaise

- Âme coquine - I'm cooking - Je cuisine

- Délicate et saine - Delicatessen - Épicerie fine
- Deux bouts de chair - The butcher - Le boucher

- Varices de grosseur ? Where is the grocer ? Où est l'épicerier ?

- C'est que ça pèle - Sex appeal - attirance sexuelle

- Ma queue perd son alcool - Make a personal call - Passer un coup de fil




Baille , Baille , Goût de oui qu'haine !

                                                                   merci Ali

une nouvelle journée se rajoute de plus,me prouvant toujours que le désarroi et la perte de repères existe toujours…bon sang,le brouillard ne cesse de s'installer,tends,ça rappelle "le mal,qui doucement s'installe,sans aucune morale,passer..."non c’est pas le mal c’est le brouillard....

on dit que la concentration sur un seul objet et l'obsession de fournir un max d'effort pour aboutir un certain objectif,eh bienfaisante mais elle peut poser aussi un choc terrible le jour où on se rend compte méchamment compte que jamais on atteindra l'objectif x ou y...or,on dit aussi que le fait de tenter plusieurs domaines ou champs de bataille plus exactement en même temps risque d'entraîner une perte phénoménale dans le temps et l'espace,et c’est exactement ce qui arrive

mince quel chemin prendre?vers quel carré jeter le dé?et si l'on ne considérait pas la situation comme sujet de jeu,mais plutôt n vrai champs de bataille,on y trouve des canons,des soldats,des quantités de sang incroyable,on y risque sa santé,son moral,sa vie...et pourtant on fonce,on sait qu'on est perdant mais cela n'empêche qu'on garde les yeux grand ouverts et on continue a foncer,non par volonté purement saine de faire son devoir envers la patrie,mais plutôt tout simplement parce qu'il y a une chose comme une chimère,dans son cors qui lui refuse de rester a sa place et d'abandonner la partie de chasse,c l'amour propre,cette merde que certains stupides imbéciles heureux considèrent comme vertu ou....

est ce une malédiction?ou est ce une bénédiction qui entraînera un ordre plus tard,où la nature impliquera ce qu'appellent certains trop intellectuels "théorie du chaos".

dans le, plan on a deux axes,dans l'espace,on en a trois,or,dans l'existence réelle on en a 4…alors quoi prendre ?quel lieu de travail ? quel champs de bataille ?

Par un jour, la cour du prince convia une danseuse                                       
Accompagnée de ses musiciens.

Elle fut présentée à la cour,
Puis elle dansa devant le prince
Aux sons du luth, de la flûte et de la cithare.

Elle dansa la danse des étoiles et celle de l’univers ;
Puis elle dansa la danse des fleurs virevoltant dans le vent.
Et le prince d’être subjugué.

Il la pria de s’approcher.
Elle se dirigea alors vers le trône
Et s’inclina devant lui.
Et le prince de demander :

« Belle femme, fille de la Grâce et de la joie, d’où vient ton art ?
Comment peux-tu maîtriser la terre et l’air dans tes pas,
L’eau et le feu dans ta cadence ? »

La danseuse s’inclina de nouveau devant le prince et dit :                                    

« Votre Altesse, je ne saurais vous répondre,                                 
mais je sais que :                                 

L’âme du philosophe veille dans sa tête.                                 
L’âme du poète vole dans son cœur.                              
L’âme du chanteur vibre dans sa gorge.                                 
Mais l’âme de la danseuse vit dans son corps tout entier. »                                 

                                                                     KHALIL GIBRAN                           

Quelques souvenirs qui remontent encore, doucement, tout doucement. Pas de passage en force, pas de douleur (ou si peu), juste ce léger sourire au coin des lèvres qui signifie que rien ne s'oublie vraiment jamais. Plus d'éclats, ou en tout cas, pas pour tout de suite, plus de traits tirés par la concentration, plus de mains posées sur l'estomac en espérant que le mal qui vous tord le ventre s'estompera de lui même. Les envies reviennent pourtant avec les souvenirs, toujours plus fortes et plus puissantes, mais accueillies avec tellement de sérénité que je n'aurai jamais imaginé ressentir les choses de cette manière là. C'est un peu destabilisant, mais c'est tellement meilleur.

she loves him more than anything or anyone, but she fears that she will only hurt or disappoint him in the end. She knows he would always treat her like a goddess, and love her more than any man ever will. But some thought or fear in her mind keeps her from meeting with him, possibly reuniting with him, as she had promised. She stands him up that night . Perhaps something is missing for her in the relationship, perhaps she feels she wouldn't treat him as he desrves, or perhaps she feels their relationship is holding him back. But for whatever reason, she thinks it is best to hurt him that night, thereby chasing him away so he never looks back in order to spare him from future sorrow . She cries a sleepless night by the ocean, wondering if she's made the right decision--whether she's forgone her only chance at hapiness, whether she'll die alone now--and knowing that she will love him forever.

Mes pensées, mon caractère, tout ce qu'il y a de bon ou de mauvais en moi a été forgé par le temps, par ma vie passée et sera encore forgé par ma vie actuelle. Tout ce que je garde en mémoire, que je n'oublierai jamais plus...

Ma mémoire... Tout ce que j'ai pu retenir de bon ou de mauvais de ma vie, le bien comme le mal, la souffrance comme la joie, les larmes comme les rires, mes périodes de stagnations tout comme mes périodes d'inconstance, ce tout qui fait qu'aujourd'hui je suis moi et j'existe.

J'aurai tout donné il y a peu de temps pour oublier tout le mal qui me rongeait. Tout ce qui faisait que j'étais de plus en plus mal, que j'avais des grosses périodes de doutes et de douleur. Seulement, il y a certaines choses qui ne s'oublieront jamais et finalement, je pense que c'est tant mieux. C'est grâce à cette mémoire que je représente un JE. Un JE différent de tous les autres JE et en même temps si proches d'eux. Tout ce qu'il m'a été donné de vivre, je l'ai vécu. Je ne parle pas que du côté positif de la vie, je parle aussi des malheures et de ce qu'ils entraînent... Des remises en questions, des larmes... Mais aussi des souvenirs qu'on oublie pas et qui vous font chaud au coeur quand vous y pensez...

Ma mémoire est ce que j'ai de plus cher en ce monde. Elle pourra peut être me trahir sur des détails insignifiants ou des choses que je ne voulais peut être pas vraiment retenir, mais elle me sera toujours fidèle sur les plus grands évènements de ma vie.

Je n'ai pas oublié mon premier amour bien que la déchirure qu'il m'ait faite m'a fait plongé trés bas. Ni tout le reste qui m'a fait parfois raclé la poussière.

Je n'oublie pas non plus que peut être grâce à tout ça j'ai évolué, mûri, pris de l'âge dans tous les sens du termes.

Aujourd'hui, j'aime. Passionnément, à m'en crever le coeur, si fort que ça me fait mal. J'aime plus que hier et sans doute moins que demain. Je sais que cet amour que je ressens aujourd'hui, bien qu'il puisse être détruit, je ne l'oublierai jamais. Parce qu'il est beau, parce qu'il est vrai, parce qu'il me donne le goût de vivre et qu'il me donne l'impression que tout n'est pas perdu encore et que je peux encore faire quelque chose pour moi.

Je n'oublierai pas mon ancienne amie Meriem. Bien que pour elle, je ai tourné la page sans que cela ne me cause aucune douleur,sans entraîner aucun regret particulier.Je n'oublierai jamais qu'à une époque nous étions trés proches et que nous aurions sans doute tout fait l'une pour les autres et vice versa. Seulement, les temps changent et c'etait l'heure de tourner une page.

Je n'oublierai rien de l'important. Je ne m'oublierai plus non plus.

Si je devais me battre pour sauver ma mémoire je le ferai.

Je lutterai jusqu'au bout pour conserver cette part de moi même qui, seule encore, peut me dire qui je suis, ce que je suis devenu, et pourquoi je suis toujours là à lutter contre la vie/non-vie.